Dans un interview accordé au Parisien (2008), Fabrice Luchini dit :
« Je voudrais des relations qui n’emprisonnent pas. Quand je suis joyeux, j’ai une sexualité libertine sans immoralité. Je ne suis pas tellement monogame. Je trouve que c’est une impasse. Ma propre meuf dit : « Il faut qu’il y en ait deux, trois qui se coltinent le morceau ». »